C'est parti ?

C'est un fait, en regardant les potagers alentours, quand je compare avec mon potager et celui de mon voisin : nous avons énormément de retard, jusqu'à un mois je dirais.
Cela est certainement du à notre exposition, au fait que nous soyons dans un creux qui est en plus balayé par les vents. Quoi qu'il en soit j'ai un collègue de travail qui est en Charente, donc dans les terres, qui me parle de ses premières récoltes alors que je suis loin d'en être à ce stade alors que je suis au bord de l'océan.

Un des indicateurs est une plante que j'affectionne tout particulièrement : le pavot de Californie.
Il m'en reste un pied de l'année passée et il a commencé sa floraison il y a 10 jours, alors que partout ailleurs, en ville notamment, il pousse par touffes denses et est fleuri depuis un bon mois.
Mais bon, c'est ainsi. Au moins il est fleuri, il se marie avec les coquelicots et autres sortes de pavots (un coquelicot rouge sombre non en fleur au moment de la prise des photos) ainsi qu'une unique fleur, très éphémère, d'un pavot mauve (dont je vais récupérer les graines soyez en sûrs).

Les pieds de courgettes les plus anciens commencent à être productifs

Fèves, pois et même les premiers artichauts

Le plants de tomates les mieux exposés sont en pleine croissance

Après la perte de 4 plants en une année, un plant de rhubarbe se plait et se développe enfin !

Les fraisiers sont prometteurs 

Pendant ce temps, dans la serre de germination, les derniers plants de tomates, de piments et de poivrons qui semblaient voués à l'échec ont finalement émergé. Les poireaux seront peut être exploitables.

Ici des vignes et agrumes en devenir

Hier j'ai profité de la météo clémente pour agrandir les parc des poules et faire en sorte qu'elles fassent l'entretien des abords des panneaux solaires.